Kassidy
J'en ai jamais assez, je suis vite lassée,
Je voudrais combler ce manque
Mon obsession me hante,
J'en ai jamais assez, je voudrais bien trouver
Que j'ai beaucoup de chance,
Me rendre à l'évidence
J'en ai jamais assez, je vois toujours après,
Des fois je me demande
Comment je peux m'y prendre
J'en ai jamais assez, je suis vite lassée,
Je suis jamais contente,
On dit que je suis chiante
J'en ai jamais assez, j'aimerais bien penser
A 2 centimètres à l'heure pour éviter les pleurs,
J'en ai jamais assez, je suis vite lassée,
Il faudrait que j'entende, un jour tu seras grande.
Mood
Archives du journal
Au jour le jour :
En mode : Egocentrsime aiguë
Statut : Célibataire*mwahaha*
Livre : Jacques le Fataliste, Diderot
Chanson : "Hope", Faith Evans
Citation : "La roue tourne."
Session
Whisper
Ici
Ailleurs
Dis toi que j'pardonne mais que jamais j'n'oublierai
--> Parallélisme
[Il a fallu que j'attende d'être en première pour savoir écire le mot "parallèle". Pas que je l'utilise souvent vu mon aversion pour la géométrie, mais quand même.]
Encore une fois traînée dans la boue.. Encore une fois ma fierté piétinée.
Putain, j'mérite toujours tout ça?
Mea Culpa.
C'est ma faute.. J'aurai pas dû m'immisser dans votre vie.. J'suis arrivée et j'ai changé pas mal de choses. J'pensais pas que ça se passerait comme ça.
Oublie pas que la vie n'est pas un jeu, pourtant toi t'as tout gagné..
J'ai sûrement trop idéalisé, encore des yeux d'enfants.. J'suis pas prête à vivre dans ce monde.. Trop naïvement j'ai cru. Cru en quoi, m'demande pas, comme m'demande pas où j'vais, j'pourrais t'répondre, sur l'sentier d'la mort..
Moi qui ne craint pas les peines cruelles Je ne vivrai pas sans souffrir un jour.
*J'crois que j't'aime*
Bordel.
Dis toi que j'pardonne mais que jamais j'n'oublierai.
[Voir une poussière d'étoile et courir après.. Y croire du plus profond de soi.. Croire à cette minuscule parcelle de bonheur. La suivre, la croire, la laisser nous émerveiller, la laisser nous mettre plein de paillettes dans les yeux.. Les fermer et rêver. Mais quand on les rouvre, la poussière d'étoile est partie.. On a beau la chercher, ce n'était qu'une illusion. C'était pas une poussière d'étoile, c'était un morceau d'alu qui sintillait au soleil.]
|
Indochine
|
c'est joliment écris Jennifer, je prendrai le temps d'en lire plus. Gros bisous ma tite soeur que j'aime tant. Kiss
|
à 22:17