Kassidy
J'en ai jamais assez, je suis vite lassée,
Je voudrais combler ce manque
Mon obsession me hante,
J'en ai jamais assez, je voudrais bien trouver
Que j'ai beaucoup de chance,
Me rendre à l'évidence
J'en ai jamais assez, je vois toujours après,
Des fois je me demande
Comment je peux m'y prendre
J'en ai jamais assez, je suis vite lassée,
Je suis jamais contente,
On dit que je suis chiante
J'en ai jamais assez, j'aimerais bien penser
A 2 centimètres à l'heure pour éviter les pleurs,
J'en ai jamais assez, je suis vite lassée,
Il faudrait que j'entende, un jour tu seras grande.
Mood
Archives du journal
Au jour le jour :
En mode : Egocentrsime aiguë
Statut : Célibataire*mwahaha*
Livre : Jacques le Fataliste, Diderot
Chanson : "Hope", Faith Evans
Citation : "La roue tourne."
Session
Whisper
Ici
Ailleurs
Et si quelqu'un en souffre Personne n'en saura rien
Ca faisait longtemps que je n'étais pas revenue par ici..
Lorsque j'attendais mon bus samedi (je finis les cours à 12h30 et le bus n'arrive qu'à 13h05 8x), on n'étions que trois ou quatre personnes devant le lycée à attendre. Tous seuls. Il faisait un froid hivernal. Silence. Personne ne disait mot. C'était agréable. Vraiment. J'en venais même à aimer le froid et le silence, moi qui déteste tellement ça. Mais.. c'est juste que c'était tellement reposant, et peut-être même rassurant. J'ai même hésité à mettre mes écouteurs sur les oreilles pour profiter de ce calme puis j'me suis laissée entraîner par la musique.
En fait, je sais pourquoi j'aime le sexe. Je n'ai pas tant de plaisir pendant les rapports mais c'est juste que ça m'emmène loin. Loin de tout, ma tête se vide, je ne pense plus à rien. J'éprouve quelque plaisir et m'envole.. Si loin. Dans un monde qui m'appartient. Que je ne sais partager que lorsque je suis défoncée. Qu'un mot, beau.
J'aime les caresses car je trouve ça agréable. J'aime les préliminaires car je prends du plaisir. J'aime l'acte sexuel car il m'emmène loin.
Maintenant, vaut mieux choisir des partenaires sexuels avec lesquels on est prêts à partager ce monde si utopique et secret.
Avec Paul, ça se passe plutôt bien pour l'instant. [Hier soir, on était au resto pour fêter le départ de Virginie avec quelques amis, il a découpé un coeur dans le papier de la table et me l'a donné. J'l'ai gardé et j'sais même pas pourquoi.]
J'aime bien les débuts de relation, on ne montre à l'autre juste ce que l'on veut qu'il voit de nous. On essaie de toujours surprendre, d'être incernable.
Fred m'avait très vite cernée. Daniel me connaît par coeur. C'est la seule personne devant qui j'étais réellement moi-même. J'suis pas prête à "montrer" cela à quelqu'un d'autre. Voilà pourquoi je ne suis pas et ne veut pas retomber amoureuse. Même si ça me manque.
C'est difficile de reconstruire sa vie après une longue relation amoureuse. Pourtant, j'ai reconstruit la mienne sans vraiment m'en rendre compte. Sans Lui. Et ça fait mal. J'me demande si j'aime vraiment la reconstruction de ma vie. En fait non, donc j'recasse toutes les pierres, du moins le sable, c'était pas encore assez solide, et reconstruit autre chose. Mais il restera toujours un peu de sable, même si j'arrive à durcir un peu le reste.
J'me laisserai pas abattre. J'revivrai pas une dépression. Mes cicatrices sur les bras sont toujours là pour me le rappeler. Alors je (re)deviendrai celle que j'étais, lorsque j'étais bien. Je sais pas pourquoi, j'fais confiance au temps. J'devrai p't'être pas. Pourtant le temps arrange tout. Du moins, il atténue beaucoup de choses. Et j'lui donne pas le droit à l'erreur.
J'ai froid, absolument pas envie de retourner au lycée demain, mais ce sera pas pareil qu'en troisième.. J'ai grandi, ils ne me détruiront pas encore une fois. Non.
[Tell me, nothing ever comes rationale or breaking down
Still somebody loses cause theirs no way to turn around.
Staring at your photograph everything now in the past
Never felt so lonely I wish that you could show me love]
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Audrey
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Je sais quand tu souffre .. je sais aussi quand tu caches derrières tes oui des non. Rien ne redeviendra comme avant.. on, je, tu .. nous nous sommes battus pour ça non? |
à 18:44